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Alexander-Ausstellung im Louvre: Antikes Makedonien

Bitte, tu mir den gefallen und falle nicht auf ein lächerliches Niveau ab - ich versuche immer meine Meinung korrekt und ohne Beleidigungen (trotz ständiger Provokationen) oder ähnlichem zu äußern.

Ich habe es nicht nötig zu flüchten, vielleicht hast du es ja nur nicht gesehen so wie ich vorhin :)


http://www.balkanforum.info/f16/ale...kes-makedonien-206651/index4.html#post2909521




Ich denke im Falle von Philipps Grab in Vergina, glauben die meisten (oder sozusagen alle) Griechen daran, dass es das wirklich ist. Darum glaube ich nicht, dass jemand in der Regierung absichtlich Falschinformationen verbreiten will. Wie gesagt kann ich die Echtheit der Grabstätte auch nicht beweisen (wie auch), aber ich denke mir, wo sollte Philipp II. sonst begraben liegen, als in der Hauptstadt des ehemaligen Makedonischen Königreichs? So gesehen tendiere ich zur Auffassung, dass das Grab in Vergina echt ist.

Heraclius
 
Sie ist echt. So ein dahergelaufener Amateur mit seinen halben Zitaten wird daran nichts ändern.
Lass dich doch nicht auf Diskussionen mit dem Vogel ein.
 
makedonien hatte viele könige das waren auch könige griechenlands... das verbindet unsere völker doch irgendwie, nich?!

bis die römer dem ein ende bereiteten im 4 jährigen makedonisch-römischen krieg ....

*Im Zweiten Makedonisch-Römischen Krieg von 200 bis 196 v. Chr. endete die makedonische Hegemonie
über Griechenland.

das muss ein schrecklicher tag für die damaligen griechen gewessen sein..
 
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Ich denke im Falle von Philipps Grab in Vergina, glauben die meisten (oder sozusagen alle) Griechen daran, dass es das wirklich ist. Darum glaube ich nicht, dass jemand in der Regierung absichtlich Falschinformationen verbreiten will. Wie gesagt kann ich die Echtheit der Grabstätte auch nicht beweisen (wie auch), aber ich denke mir, wo sollte Philipp II. sonst begraben liegen, als in der Hauptstadt des ehemaligen Makedonischen Königreichs? So gesehen tendiere ich zur Auffassung, dass das Grab in Vergina echt ist.

Heraclius

Ja, die Gräber sind echt, daran besteht auch kein Zweifel. Das würde ich niemals bestreiten.

Doch wurde die Tatsache mit Philip II wiederlegt, daraus ergibt sich für mich der Verdacht das das offizielle Athen eine Art "Volksverdummung" (Propaganda) die letzten dreißig Jahre durch führt.

Das sie erfolgreich gewesen ist, zeigt deine Aussage:

glauben die meisten (oder sozusagen alle) Griechen daran, dass es das wirklich ist.

Mit Hilfe von einer Desinformation wird ein falsches Bild verbreitet auf dem ihr eure Meinung bildet.



Ich freu mich schon auf weitere Bilder von der Ausstellung
 
Zuletzt bearbeitet:
Ja, die Gräber sind echt, daran besteht auch kein Zweifel. Das würde ich niemals bestreiten.

Doch wurde die Tatsache mit Philip II wiederlegt, daraus ergibt sich für mich der Verdacht das das offizielle Athen eine Art "Volksverdummung" (Propaganda) die letzten dreißig Jahre durch führt.

Das sie erfolgreich gewesen ist, zeigt deine Aussage:



Mit Hilfe von einer Desinformation wird ein falsches Bild verbreitet auf dem ihr eure Meinung bildet.



Ich freu mich schon auf weitere Bilder von der Ausstellung

Ein Glück, dass ich vor dieser "Propaganda" verschont wurde Mr. Labberscheiß, denn ich war vor 30 Jahren in der Gr. Schule....dort und in dieser Zeit hat man mich aber das gleiche gelernt :dontknow:

Wer ist den hier jetzt der mit Propaganda gefütterte Idiot?

PS. boithisteme Ellines http://www.balkanforum.info/f9/albaner-montenegro-ueber-grossalbanien-206784/ :mrgreen:
 
Alexandre le Grand
Le royaume - L'épopée - La légende


lefigaroalexandrelegran.jpg


Alexandre n’est pas né nulle part. On cherche en vain sa tombe; on sait où il a vu le jour: à Pella, dans le palais du roi Philippe de Macédoine, son père, en 356 avant J.-C.

Alexandre était macédonien, et le dire ne relève pas de la petite histoire, d’une vaine curiosité pour les hasards de la naissance. C’est souligner une donnée essentielle de son épopée. Par son régime – la monarchie –, sa position, son étendue, par sa prospérité,par sa démographie, le royaume du Nord était prédisposé, plus qu’aucun des micro-Etats du monde de la polis, à faire autour de lui l’unité grecque et à se donner les moyens de la conquête.

La Macédoine avait été, aux marges de la Grèce (Makedonien war am Rande Griechenlands), le boulevard des invasions. Elle avait sacrifié, bien avant Alexandre, l’indépendance de ses cités à l’unité de commandement sans quoi la diplomatie n’est qu’un vain tâtonnement, la persévérance à la guerre, un défi de tous les instants. Roi guerrier, despote animé d’une insatiable ambition, Philippe avait forgé, avec la phalange, l’instrument militaire des victoires de son fils.

Une population consistante, des mines d’or, des forêts, des plaines agricoles l’avaient doté des richesses sans lesquelles il n’est pas de conquérant. Alexandre allait être le plus illustre des Grecs (Alexander wurde der berühmteste Grieche).

Il ne l’avait été que parce qu’il était macédonien,et ce paradoxe longtemps troublé les historiens. L’ homme qui avait vengé l’incendie d’ Athènes par Xerxès, le stratège qui avait mis un terme à la puissance perse en écrivant (et de quelle manière !) le dernier acte de l’affrontement qu’ avaient ouvert les guerres médiques par le triomphe définitif des armes helléniques, rendu indiscutable son hégémonie sur les Grecs, là où Athènes, Sparte, Thèbes s’ étaient entrechoquées pendant un siècle sans jamais parvenir à rendre leur domination pérenne;le conquérant qui avait répandu l’hellénisme dans le sillage de ses conquêtes, des déserts de Libye à la plaine de l’ Indus et de la mer d’ Azov au golfe Persique, assurant, Rome aidant, pour huit siècles, la suprématie de la civilisation grecque, et luipermettant de marquer, au-delà, toute l’histoire européenne, cet homme-là était lui-même issu d’une marche frontière dont on avait peine à admettre qu’elle ait véritablement fait partie du monde grec!

Démosthène avait statué là-dessus dans sa Troisième Philippique, dénonçant dans le roi de Macédoine, un homme «qui non seulement n’est pas un Grec et n’a rien de commun avec les Grecs, mais n’est pas même un Barbare d’une origine honorable, misérable Macédonien, issu d’un pays où l’on ne pouvait acheter naguère un esclave honnête».

Michel De Jaeghere
Directeur de la Rédaction du Figaro Hors-série


Quelle: Hors-série Alexandre le Grand - Découvrez le Hors-Serie Figaro Hors-série Alexandre le Grand



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Alexandre le Grand
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Alexandre n’est pas né nulle part. On cherche en vain sa tombe; on sait où il a vu le jour: à Pella, dans le palais du roi Philippe de Macédoine, son père, en 356 avant J.-C.

Alexandre était macédonien, et le dire ne relève pas de la petite histoire, d’une vaine curiosité pour les hasards de la naissance. C’est souligner une donnée essentielle de son épopée. Par son régime – la monarchie –, sa position, son étendue, par sa prospérité,par sa démographie, le royaume du Nord était prédisposé, plus qu’aucun des micro-Etats du monde de la polis, à faire autour de lui l’unité grecque et à se donner les moyens de la conquête.

La Macédoine avait été, aux marges de la Grèce (Makedonien war am Rande Griechenlands), le boulevard des invasions. Elle avait sacrifié, bien avant Alexandre, l’indépendance de ses cités à l’unité de commandement sans quoi la diplomatie n’est qu’un vain tâtonnement, la persévérance à la guerre, un défi de tous les instants. Roi guerrier, despote animé d’une insatiable ambition, Philippe avait forgé, avec la phalange, l’instrument militaire des victoires de son fils.

Une population consistante, des mines d’or, des forêts, des plaines agricoles l’avaient doté des richesses sans lesquelles il n’est pas de conquérant. Alexandre allait être le plus illustre des Grecs (Alexander wurde der berühmteste Grieche).

Il ne l’avait été que parce qu’il était macédonien,et ce paradoxe longtemps troublé les historiens. L’ homme qui avait vengé l’incendie d’ Athènes par Xerxès, le stratège qui avait mis un terme à la puissance perse en écrivant (et de quelle manière !) le dernier acte de l’affrontement qu’ avaient ouvert les guerres médiques par le triomphe définitif des armes helléniques, rendu indiscutable son hégémonie sur les Grecs, là où Athènes, Sparte, Thèbes s’ étaient entrechoquées pendant un siècle sans jamais parvenir à rendre leur domination pérenne;le conquérant qui avait répandu l’hellénisme dans le sillage de ses conquêtes, des déserts de Libye à la plaine de l’ Indus et de la mer d’ Azov au golfe Persique, assurant, Rome aidant, pour huit siècles, la suprématie de la civilisation grecque, et luipermettant de marquer, au-delà, toute l’histoire européenne, cet homme-là était lui-même issu d’une marche frontière dont on avait peine à admettre qu’elle ait véritablement fait partie du monde grec!

Démosthène avait statué là-dessus dans sa Troisième Philippique, dénonçant dans le roi de Macédoine, un homme «qui non seulement n’est pas un Grec et n’a rien de commun avec les Grecs, mais n’est pas même un Barbare d’une origine honorable, misérable Macédonien, issu d’un pays où l’on ne pouvait acheter naguère un esclave honnête».

Michel De Jaeghere
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Alexandre était macédonien, et le dire ne relève pas de la petite histoire, d’une vaine curiosité pour les hasards de la naissance. C’est souligner une donnée essentielle de son épopée. Par son régime – la monarchie –, sa position, son étendue, par sa prospérité,par sa démographie, le royaume du Nord était prédisposé, plus qu’aucun des micro-Etats du monde de la polis, à faire autour de lui l’unité grecque et à se donner les moyens de la conquête.

La Macédoine avait été, aux marges de la Grèce (Makedonien war am Rande Griechenlands), le boulevard des invasions. Elle avait sacrifié, bien avant Alexandre, l’indépendance de ses cités à l’unité de commandement sans quoi la diplomatie n’est qu’un vain tâtonnement, la persévérance à la guerre, un défi de tous les instants. Roi guerrier, despote animé d’une insatiable ambition, Philippe avait forgé, avec la phalange, l’instrument militaire des victoires de son fils.

Une population consistante, des mines d’or, des forêts, des plaines agricoles l’avaient doté des richesses sans lesquelles il n’est pas de conquérant. Alexandre allait être le plus illustre des Grecs (Alexander wurde der berühmteste Grieche).

Il ne l’avait été que parce qu’il était macédonien,et ce paradoxe longtemps troublé les historiens. L’ homme qui avait vengé l’incendie d’ Athènes par Xerxès, le stratège qui avait mis un terme à la puissance perse en écrivant (et de quelle manière !) le dernier acte de l’affrontement qu’ avaient ouvert les guerres médiques par le triomphe définitif des armes helléniques, rendu indiscutable son hégémonie sur les Grecs, là où Athènes, Sparte, Thèbes s’ étaient entrechoquées pendant un siècle sans jamais parvenir à rendre leur domination pérenne;le conquérant qui avait répandu l’hellénisme dans le sillage de ses conquêtes, des déserts de Libye à la plaine de l’ Indus et de la mer d’ Azov au golfe Persique, assurant, Rome aidant, pour huit siècles, la suprématie de la civilisation grecque, et luipermettant de marquer, au-delà, toute l’histoire européenne, cet homme-là était lui-même issu d’une marche frontière dont on avait peine à admettre qu’elle ait véritablement fait partie du monde grec!

Démosthène avait statué là-dessus dans sa Troisième Philippique, dénonçant dans le roi de Macédoine, un homme «qui non seulement n’est pas un Grec et n’a rien de commun avec les Grecs, mais n’est pas même un Barbare d’une origine honorable, misérable Macédonien, issu d’un pays où l’on ne pouvait acheter naguère un esclave honnête».

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Hippokrates

und jetzt alles auf bulgarisch...für unsere nachbarn.:;)
 
und jetzt alles auf bulgarisch...für unsere nachbarn.:;)

Ich spreche kein Bulgarisch, aber ich habe auch keine Lust jeden einzelnen Satz auf Deutsch zu übersetzen. Zwei oder der signifikante Sätze reichen schon aus.

Der Le Figaro hat in Anlehnung auf die Ausstellung das Magazin herausgebracht.




Hippokrates
 
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