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Metho
Guest
Ich hasse Romane.....
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Nik
Guest
Schade, dass heute so wenig Menschen regelmässig Bücher lesen. Stattdessen ziehen sie sich den ganzen freien Abend YouTube-Videos ein, stöbern auf Facebook, (im BF) oder tun sonstwas am Handy. Ich meine jetzt nicht dich, Metho, klar, aber probiert doch so vor dem Schlafen gehen mal eine Seite aus einem für euch spannenden Buch zu lesen und lest dann immer öfter, immer mehr. Ich sage euch, Bücher lesen ist 1000 mal spannender und sinnvoller als faul am Handy zu tippen oder Fernseh zu schauen.
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Metho
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Schade, dass heute so wenig Menschen regelmässig Bücher lesen. Stattdessen ziehen sie sich den ganzen freien Abend YouTube-Videos ein, stöbern auf Facebook, (im BF) oder tun sonstwas am Handy. Ich meine jetzt nicht dich, Metho, klar, aber probiert doch so vor dem Schlafen gehen mal eine Seite aus einem für euch spannenden Buch zu lesen und lest dann immer öfter, immer mehr. Ich sage euch, Bücher lesen ist 1000 mal spannender und sinnvoller als faul am Handy zu tippen oder Fernseh zu schauen.
Du verstehst mich falsch....ich lese unheimlich viel.....
Nur lese ich keine Romane......
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Ich schon...
Hä?
Zeus
Geek
Žarnoski;4166132 schrieb:Du verstehst mich falsch....ich lese unheimlich viel.....
Nur lese ich keine Romane......
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Hä?
Was "Hä?"?
Ich lese gerne Romane... 
Übrigens: Gestern war mir langweilig und ich fing, doch vor dem Ankommen des Buches "Ruhm" an, den fünften Teil von "Gregs Tagebuch" zu lesen. Nun... heute kam das Buch "Ruhm" an, sodass ich mit Gregs Tagebuch 5 schnell fertig werden "muss".
Dennoch genieße ich es. 
Lanchiii
Balkanspezialist
Frédéric Beigbeder-99 francs
Der Roman erzählt die Geschichte Octave Parangos, der in der Werbebranche als Kreativer - er selbst nennt sich "Weltverschmutzer" - tätig ist. Octave schildert seine Gefühle gegen die Konsumwelt und vor allem gegen die Verantwortungslosigkeit der Werbung, die er produziert. Der Ich-Erzähler will seinen Text nicht als Anklage des heutigen Kapitalismus verstanden wissen, sondern als Beichte, durch die er sich Ablass erhofft. Octave geht immer wieder auf seinen vermeintlichen Traumjob ein, den er nur durch den exzessiven Kokainkonsum, käufliche Liebe und Zynismus ertragen kann…..Wiki Text….
Das Buch besteht eigentlich zu einem grossen Teil aus Monologen, in denen aber sehr viel karikiert wird, viel Ironie verwendet wird und ein zynischer Unterton herrscht. Es ist eher satyrisch, eine Kritik an die heutige Konsumgesellschaft, die dann durch die eigentlichen Story illustriert wird. Ein sehr unterhaltsames und lustiges Buch, ich empfehle es sehr :toothy10:
Am besten in der Originalsprache lesen, denn manchmal gibt es Seiten von Werbe-Slogans und ich habe gehört, dass dann "du pain, du vin, du boursin" etwa so "Brot, Wein und Boursin" tönt.
"Quand on n'a rien préparé, il faut parler le dernier et reprendre à son compte ce que les autres ont dit. Dans toute réunion, c'est toujours le dernier qui a parlé qui a raison. Ne jamais perdre de vue que le but d'une réunion est de laisser les autres se planter."
"Il est convaincu que le retour de la croissance est une bonne nouvelle alors que la croissance signifie seulement de plus en plus de production vaine, "une immense accumulation de marchandises" (Karl Marx), une montagne d'objets supplémentaires pour nous ensevelir. Il a la Foi. Il l'a appris dans la Haute Ecole: en la Croissance tu Croiras. Produisons des millions de TONNES
de produits entassés et nous serons heureux! Gloire à l'expansion qui fait tourner les usines qui font grimper l'expansion! Surtout ne nous arrêtons pas pour réfléchir!"
"Je vous drogue à la nouveauté, et l'avantage avec la nouveauté, c'est qu'elle ne reste jamais neuve. Il y a toujours une nouvelle nouveauté pour faire vieillir la précédente. Vous faire baver, tel est mon sacerdoce. Dans ma profession, personne ne souhaite votre bonheur, parce que les gens heureux ne consomment pas."
“La différence entre les riches et les pauvres,c’est que les pauvres vendent de la drogue pour s’acheter des NIKE
et que les riches vendent des Nike pour s’acheter de la drogue.”
“Je suis celui qui pénètre votre cerveau, je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus, je vous impose le mien.”
“When by dint of savings you manage to buy your dream CAR, I shall have already made it old fashioned.”
"Tu ne vas pas VOIR les prostituées par cynisme, oh que non, au contraire, c'est par peur de l'amour. Elles te donnent du sexe sans sentiments, du plaisir sans douleur. "Le vrai est un moment du faux", a écrit Guy Debord - après Hegel - et ils étaient plus intelligents que toi. Cette phrase décrit bien l'atmosphère des bars à hôtesses. Avec les prostituées, le faux est un moment du vrai. Tu es enfin toi-même. En compagnie d'une femme dite "normale", il faut faire des efforts, se vanter, s'améliorer, donc mentir: c'est l'homme qui fait la pute. Tandis qu'au bordel, l'homme se laisse aller, ne cherche plus à plaire, à se montrer meilleur qu'il est. C'est le seul endroit faux où il est enfin vrai, faible, beau et fragile. Il faudrait écrire un roman intitulé "L'amour coûte 500 euros".
“Everything is temporary. Love, art, planet earth, you, me … especially me.”
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Der Roman erzählt die Geschichte Octave Parangos, der in der Werbebranche als Kreativer - er selbst nennt sich "Weltverschmutzer" - tätig ist. Octave schildert seine Gefühle gegen die Konsumwelt und vor allem gegen die Verantwortungslosigkeit der Werbung, die er produziert. Der Ich-Erzähler will seinen Text nicht als Anklage des heutigen Kapitalismus verstanden wissen, sondern als Beichte, durch die er sich Ablass erhofft. Octave geht immer wieder auf seinen vermeintlichen Traumjob ein, den er nur durch den exzessiven Kokainkonsum, käufliche Liebe und Zynismus ertragen kann…..Wiki Text….
Das Buch besteht eigentlich zu einem grossen Teil aus Monologen, in denen aber sehr viel karikiert wird, viel Ironie verwendet wird und ein zynischer Unterton herrscht. Es ist eher satyrisch, eine Kritik an die heutige Konsumgesellschaft, die dann durch die eigentlichen Story illustriert wird. Ein sehr unterhaltsames und lustiges Buch, ich empfehle es sehr :toothy10:
Am besten in der Originalsprache lesen, denn manchmal gibt es Seiten von Werbe-Slogans und ich habe gehört, dass dann "du pain, du vin, du boursin" etwa so "Brot, Wein und Boursin" tönt
. "Quand on n'a rien préparé, il faut parler le dernier et reprendre à son compte ce que les autres ont dit. Dans toute réunion, c'est toujours le dernier qui a parlé qui a raison. Ne jamais perdre de vue que le but d'une réunion est de laisser les autres se planter."
"Il est convaincu que le retour de la croissance est une bonne nouvelle alors que la croissance signifie seulement de plus en plus de production vaine, "une immense accumulation de marchandises" (Karl Marx), une montagne d'objets supplémentaires pour nous ensevelir. Il a la Foi. Il l'a appris dans la Haute Ecole: en la Croissance tu Croiras. Produisons des millions de TONNES
de produits entassés et nous serons heureux! Gloire à l'expansion qui fait tourner les usines qui font grimper l'expansion! Surtout ne nous arrêtons pas pour réfléchir!""Je vous drogue à la nouveauté, et l'avantage avec la nouveauté, c'est qu'elle ne reste jamais neuve. Il y a toujours une nouvelle nouveauté pour faire vieillir la précédente. Vous faire baver, tel est mon sacerdoce. Dans ma profession, personne ne souhaite votre bonheur, parce que les gens heureux ne consomment pas."
“La différence entre les riches et les pauvres,c’est que les pauvres vendent de la drogue pour s’acheter des NIKE
et que les riches vendent des Nike pour s’acheter de la drogue.”“Je suis celui qui pénètre votre cerveau, je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus, je vous impose le mien.”
“When by dint of savings you manage to buy your dream CAR
, I shall have already made it old fashioned.”"Tu ne vas pas VOIR
les prostituées par cynisme, oh que non, au contraire, c'est par peur de l'amour. Elles te donnent du sexe sans sentiments, du plaisir sans douleur. "Le vrai est un moment du faux", a écrit Guy Debord - après Hegel - et ils étaient plus intelligents que toi. Cette phrase décrit bien l'atmosphère des bars à hôtesses. Avec les prostituées, le faux est un moment du vrai. Tu es enfin toi-même. En compagnie d'une femme dite "normale", il faut faire des efforts, se vanter, s'améliorer, donc mentir: c'est l'homme qui fait la pute. Tandis qu'au bordel, l'homme se laisse aller, ne cherche plus à plaire, à se montrer meilleur qu'il est. C'est le seul endroit faux où il est enfin vrai, faible, beau et fragile. Il faudrait écrire un roman intitulé "L'amour coûte 500 euros".“Everything is temporary. Love, art, planet earth, you, me … especially me.”
Melvin Gibsons
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Der Unsichtbare
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Mats Wahl
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